Une des technique du tir de défense professionel, est l’utilisation d’une arme à feu sur un objectif en partie dissimulé par un obstacle. Une variante de ce genre de situation et un agresseur qui ce cache en partie derrière une autre personne non active – un otage. En vérité, beaucoup d’utilisateurs d’armes à feu (surtout les membres des unités spéciales de la Police), doivent parfois faire feu dans une zone avec d’autres personne présentes, et ils peuvent avoir à éliminer un assaillants qui tient et menace de mort une innocente victime. Il est inutile de dire que le risque étant maximum dans ce genre de situation, il vaut mieux éviter ce type de tir, si c’est possible. Cependant, il n’est pas possible de prévoir l’heure et l’endroit pour de telles oppositions, et cela dépend uniquement de l’assaillant ou du terroriste. C’est pourquoi les unités d’élite doivent intégrer de telles situations dans leur entrainement intensif. Il est bon de préciser qu’il ne s’agit pas là de sport, mais d’entrainement à une « frappe chirurgicale ». C’est à dire pas de tir impulsif et précipité sans prendre en compte la victime innocente présente. C’est pourtant exactement ce qui ce produit souvent même en situation d’entrainement « sous pression » du fait de l’intèret porté à la cible, qui se manifeste par des signes de « vision tunnel ».
La mission du treur et de toucher rapidement et précisément la zone optimale – qui permet de neutraliser instantanément l’action criminelle de l’agresseur. Mais il y a un souci. Dans le cas d’une cible immobile, la grande partie de ce qui est caché par quelqu’un ou quelquechose que l’on ne doit absolument pas toucher, il est nécessaire d’appliquer certains principes essentiels. Il est impératif de tirer de telle façon que le point visé soit pratiquement dans l’axe central de ce que l’on voit de l’objectif. Le tireur ne doit pas seulement se figurer de tirer dans la zone centrale, qui est dans ce cas la zone masqué par l’otage. Ce serait augmenter les chances de commettre l’irréparable en touchant un innocent appeuré. Dans tous les cas il est préférable de toucher « seulement » un bras que de viser inutilement son centre anatomique et toucher l’otage.
Ici, dans le cas de la cible ESP N° 8, nous voyons un couple classique, l’otage et l’agresseur armé. « cible et non cible ». Nous avons choisi précisément cette situation plutôt réaliste où l’agresseur sans pitié est sur le point de trancher la gorge d’un otage innocent. C’est une menace bien réelle dans la vie et assez commune. Dans ce cas, nous avons essayé de créer une cible spécifique, pour laquelle il y a de bonne raisons légales de tirer, dues à la présence de l’arme blanche. Cette cible est également utilisée pour le tir à de plus longues distances, et peut donc être utilisée des 2 manières, pour le tir en situation standart comme pour la formation au tir à des dizaines ou centaines de mètres. C’est un outil de formation polyvalent, pour les armes de poing, les armes d’assaut ou les fusils de précision.
Dans ce ce cas, il est nécessaire d’éliminer immédiatement l’agresseur, mais sans blesser l’otage – pour cela, la sration entre les deux est matèrialisée par une ligne. Vous ne pouvez pas vous justifier si vous touchez involontairement la pauvre femme au lieu du méchant. Vous pouvez être certain qu’il est très difficile de toucher cet objectif rapidement et précisément, surtout si la cible bouge et imite les mouvements normaux de ce couple. C’est aussi difficile qu’en cas de situation réelle.
La cible N° 8 posséde comme les autres cibles tactiques ESP un fond sombre, ainsi que que les zones anatomiques sensibles en surimpression, ce qui est utile pour déterminer les effets du tir et la précision du point visé. Cela reproduit l’ambiance lugubre que l’on rencontre innévitablement dans ce genre de situation. Les message pour les stagiaires est clair : « Tirez avec précision et rapidement ou l’otage est morte ».
Cette cible habitue également le porteur d’arme à réagir autant que faire ce peut comme si ce genre de situation à haut risque et délicate à gérer était coutumière. Cela habitue le stagiaire graduellement au moment critique, quand il ne doit pas hésiter et utiliser son arme automatiquement et efficacement. Cela signifie dépasser le blocage que certain peuvent avoir au moment de l’action et dont l’hésitation peut avoir des conséquences tragiques, ou qui peuvent oublier leur bases de tir sous la pression. Cependant personne ne souhaiterait se retrouver dans cette situation si dangereuse avec autant de responsabilités, et dans ce cas ce qui se dit est assez vrai : « celui qui est bien préparé n’est jamais surpris » ainsi que « la chance aide ceux qui sont préparés ».
Cette cible fait déjà partie du programme de formation de l’armée Tchèque.